Le visage dérangé de justesse
Je termine ma ronde
Dans la douceur
Du soleil courageux
Il émane de moi
Dans mes humbles désirs
Un air éternel
Et
Une odeur de jasmin
Les mains longues
Me semblent plus lisses
Le corps dans ses lignes
Se dresse comme une tige de mars
C’est le temps d’un instant
Que les fluides dans leur force
Entrouvrent le passage vers l’immatériel
Les vents se jouant de l’air
ce qu’il en émane
n’est que l’instant d’un passage
qui n’affecte rien du fond…
N-L
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M’autoriseriez-vous pour ce mois de la poésie à rebloguer ce poème sur Litterama afin de vous faire connaître et de partager mon coup de coeur ?
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C’est avec grand plaisir, merci d’apprécier ce texte et mon univers.
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A reblogué ceci sur Litterama, les femmes en littératureet a ajouté:
Corinne Freygefond revendique son autodidaxie qui la libère des liens et des codes mais non pas des influences passées ou présentes. Les images qu’elle fixe naissent de ses souvenirs, de ses révoltes, de ses questionnements.
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